L’art de la voie N°2, tout savoir sur la légitime défense

Dans ce deuxième volet du magasine mensuel, l’Art de la Voie, Antoine Thibaut, nous expliquera toutes les subtilités de la légitime défense…

Mais avant, il nous emmènera dans les méandres de l’histoire et de la connaissance martial avec :

– L’histoire du Wing Tsun, art martial qui est à l’origine du Jeet Kun Do créé par Bruce Lee

– Le Kendo, l’art du sabre

– l’Hapkido, art martial assez proche de l’Aïkido.

.

Le Wing Tsun, les début de Bruce Lee :

Souvent confondu avec le Kung Fu (c’est vrai que ça sonne mieux à nos oreilles ;-), le wing Tsun, est un art martial qui nous vient de Chine.

Ses origines remontrerais à environ 300 ans et aurait été créé par une femme, Yim Wing Chun :
La légende raconte qu’après s’être entrainé auprès d’une nonne du temple de Shaolin, elle aurait battu en duel un seigneur local à qui elle refusait le mariage.

Ceci reste bien sur une légende. Mais il faut retenir que le Win Chun est assez rapide à apprendre et que

« son efficacité est basée sur l’économie des mouvements et la recherche de la souplesse contre la force brute ».

Nous connaissons tous un peu le Wing Chun grâce à Bruce Lee qui l’étudia pendant 5 ans avant de se lancer dans ses propres recherches pour créer le Jeet Kun Do, un Wing Tsun amélioré.

Mais l’essor que connu le Wing Tsun est également dû à Maître Ip Man qu’on retrouve ci-contre avec Bruce Lee dans un excercice de mains collantes.

Une des caractéristiques des entrainements de Wing Chun est le travail au mannequin en bois, car

“En wing chun on cherche à être presque toujours en contact avec les avant-bras de l’adversaire ce qui permet de ressentir et prévoir ses mouvements.”

Le Kendo, la voie du Sabre

Dans la rubrique « la Voie du Sabre » de ce numéro, Antoine n’a pas chercher la complication, puisqu’il nous parle tout simplement du Kendo que l’on peu traduire par :

Le Kendo est un art martial moderne avec l’organisation de compétitions mais il tire ses origines de quelques siècles auparavant avec le Kenjutsu (toujours pratiqué de nos jours).

Le Kenjutsu était avec le Iaijutsu (l’Art de dégainer le sabre) et le Battojutsu (l’Art de la coupe) l’une des 3 disciplines du sabre.

Les modifications du Kenjutsu en Kendo commence lors de la réunification du Japon :

Il fallait canaliser l’esprit guerrier des dirigeants et c’est ainsi que se développa peu à peu l’aspect spirituel des arts martiaux ou par la pratique, les individus recherchaient au-delà de l’efficacité un accomplissement.

Dans ce chapitre, Antoine nous expliquera pourquoi le sabre du Kendoka, qu’on appelle le Shinaï, est composé de lamelle de bambou.

Il nous montreras également tous les pièces que compose l’armure ou Bogu Kendoka à savoir, le Do, le Men, le Tare, le Boken.

Il détaille chaque éléments et nous décrit les différentes cibles du corps utilisé en Kendo.

Le kendo et la compétitions :

Nous découvrirons ici que le Kendo est réellement un art martial comparativement à l’escrime. En effet Antoine nous explique les règles de la compétitions et vous verrez que les conditions pour obtenir un point ne sont pas uniquement la touche, mais comportent plusieurs critères, très proche de celle du Karaté d’ailleurs :

Kiaï, détermination, posture adéquate, vigilance, etc

Le Kendo est réellement un art martial où corps et esprit ne font qu’un et on peux même ajouter un 3ème élément à ce duo : Le sabre :

L’esprit, le sabre et le corps en un : le Ki Ken Taï Itchi

Antoine nous parle ensuite des limites du Kendo par rapport à son grand frère originel, le Kenjutsu.

Rendez vous au cinéma

Antoine nous invite au cinéma 😉 avec le film «  Après la pluie » de Takashi Koisumi« .

Malgré un rythme calme, le film nous maintient en haleine. On y retrouve la mentalité du japon féodal d’après la période de guerre civile.

Je vous laisse contacter Antoine pour l’heure du rendez vous 🙂

L’Hapkido, lumière sur un art martial très complet

à ne pas confondre avec l’Aikido, même si l’on retrouve des similitudes, notamment dans le nom qui signifie également « la voie des énergies unifiées« ,

l’Hapkido lui est enseigné dans de nombreux offices de garde du corps et de nombreux corps d’armée partout dans le monde du fait de son efficacité.

Les principes de l’Hapkido sont l’eau (décontraction), le cercle (mouvement circulaire sans opposition) et l’harmonie (unité)

L’Hapkido est art martial très complet car en plus des clefs permettant des projections spectaculaires, il y a des techniques de frappe avec notamment de nombreux coups de pied inspirés du Taekwondo ainsi que des techniques de combat au sol.

Antoine, nous explique également que l’Hapkido comporte en outre un apprentissage du maniement d’armes comme le bâton court, le sabre, le couteau…mais également l’éventail, la règle, la canne et même…la ceinture.

L’axe principale de l’apprentissage de l’Hapkido est la self défense, présente d’ailleurs dans toutes les écoles.

Il existe 3 grands style d’Hapkido, le style dure très efficace, le style souple comportant de nombreux exercices respiratoires et le style intermédiaire inspiré de l’Aikijutsu et du Taekwondo.

La légitime défense

Antoine va nous éclairer ici sur un sujet qui concerne tous les pratiquants d’art martiaux : la légitime défense.

On s’est tous posé la question :

si je suis agressé, est ce que je peux utiliser mon art
pour me défendre sans tomber sous le coup de la loi ?

La réponse n’est pas si évidente qu’on le pense et Antoine va décortiquer pour nous les article 122.5 et 122.6 du code pénal qui définissent la légitime défense.

Il va étudier la légitime défense suivant deux aspects, sa mise en application et les conséquences que cela engendre.

Vous devriez trouver beaucoup de réponses à vos questions dans ce chapitre qui comporte pas moins de 4 pages détaillées.

Voilà, ce termine ici la présentation du 2ème numéro de l’Art de la Voie, magazine gratuit d’Antoine Thibaut.

Je vous laisse le découvrir par vous même en  le téléchargeant au format pdf en cliquant sur la photo ci-contre.

Les autres numéros sont tous téléchargeables sur Masterfight 

Je vous souhaite une très bonne lecture,

à bientôt,
Bruno